L'enjeu des emballages à usage unique
De nombreux expert•es et chercheurs•euses s’accordent à dire qu’il est impératif de repenser nos habitudes de consommation, à commencer par diminuer les emballages à usage unique.
Depuis 2016, les pouvoirs publics européens ont entamé cette réflexion en interdisant la distribution de sacs en plastique, suivi des pailles, couverts et assiettes en plastique en 2021. Afin de continuer dans ce sens, le gouvernement français s’est fixé deux objectifs : « zéro plastique rejeté en mer d'ici à 2025 » et « zéro plastique à usage unique d'ici à 2040 ».
Les entreprises, toutes les entreprises, se doivent quant à elles de réfléchir à d’autres types d’emballage : le supprimer quant cela est possible, encourager le réemploi des emballages de transport, ou les remplacer avec des matières plus durables tels que le papier ou le carton.
Les emballages biosourcés, eux, ne sont pas toujours biodégradables et leur production, en plus d'être énergivore, est gourmande en eau. Ainsi, DECATHLON ne souhaite pas soutenir l'utilisation de plastiques biosourcés et cherche à limiter l'usage de plastiques biodégradables, sources de micro-plastiques dans la nature, lorsque les conditions de dégradations d'usine ou de compost domestique ne sont pas réunies pour permettre une biodégradation totale.